Comme vous l’avez sans doute remarqué, les clématites d’hiver (Armandii) sont particulièrement belles cette année. Elles nous ont fait attendre deux ans, ont bien grandi mais ne nous donnent leur délicate floraison parfumée qu’en cette fin d’hiver. Seuls les balcons du 1er voire 2ème étage nous permettraient de plonger le nez dedans mais heureusement celle que nous avons planté cet automne au bout de la rue de Lorraine a décidé de ne pas attendre. Elle nous offre profusion de fleurs parfumées à hauteur de narines; ne la manquez pas. La clématite montana Mayleen, sa voisine de la rue de l’Aire, est encore toute petite mais ses 2 fleurs précoces avaient un parfum suave (ce qui n’est pas commun pour cette variété); une 3ème fleur est en préparation: à ne pas surveiller.
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Le printemps n’est pas encore là mais il s’annonce dans les bourgeons qui viennent sur les vignes et bignones, les petits bouquets de feuilles et les boutons déjà visibles sur les rosiers bientôt en fleurs et les chants d’oiseaux de plus en plus audibles le matin et le dimanche quand la ville est calme.
C’est un bon signe car nos jeunes pousses ont commencé à régaler les pucerons et nos doigts écraseurs et un peu de savon noir n’en viendront pas à bout sans l’aide de ces prédateurs et de leurs alliées les coccinelles.
On peut aussi aider les plantes à résister en les renforçant : j’ai un grand bidon d’engrais de compost à votre disposition. Contactez moi si vous voulez un litre ou deux ( dilution 1/10)
Ouvrons grand notre nez, nos yeux et nos oreilles : le printemps n’est pas loin.
Christine
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